13 avril 11
Quand sonne la vie
C’est l’arrêt des torturés.
Tout est mouvements dispersés,
Tout est bruits aux charmes insensés.
Tremblants d’abord,
Puis ouvrant les yeux ils respirent
Et doucement quittent leurs visages matamores.
C’est l’escapade des estropiés
En une joyeuse libération ;
L’évasion des prisonniers,
Des sentiments en décompressions dans des cœurs libérés !
Alors seulement, apparaissent les couleurs
Vives accompagnant les actions et les rires,
Bourrades à l’épaule,
Paroles amicales.
Je m’adresse aux détenus
Ayant perpétuellement peur d’être à nu,
Qui s’incarcèrent de fausses vertus,
Qui par peur du « qu’en diras – tu », se maquillent et se tuent.
Ce message aux casseurs de pierres !
Qui brisent leurs identités
Pour passer aux portiques
Et convenir, entrer dans la Société :
La Liberté disparaît
Là où la Société vous éreinte de son étreinte…
(Si le serpent vous hypnotise
Et réussit à vous normer…)
Quand sonne la vie
C’est l’arrêt des torturés.
Tout est mouvements dispersés,
Tout est bruits aux charmes insensés.
Tremblants d’abord,
Puis ouvrant les yeux ils respirent
Et doucement quittent leurs visages matamores.
C’est l’escapade des estropiés
En une joyeuse libération ;
L’évasion des prisonniers,
Des sentiments en décompressions dans des cœurs libérés !
Alors seulement, apparaissent les couleurs
Vives accompagnant les actions et les rires,
Bourrades à l’épaule,
Paroles amicales.
Je m’adresse aux détenus
Ayant perpétuellement peur d’être à nu,
Qui s’incarcèrent de fausses vertus,
Qui par peur du « qu’en diras – tu », se maquillent et se tuent.
Ce message aux casseurs de pierres !
Qui brisent leurs identités
Pour passer aux portiques
Et convenir, entrer dans la Société :
La Liberté disparaît
Là où la Société vous éreinte de son étreinte…
(Si le serpent vous hypnotise
Et réussit à vous normer…)